Convaincue depuis toujours que le but ultime de la vie est de trouver le bonheur, j’ai au cours de nombreuses décennies chercher le mien. En dépit, d’une très jolie réussite professionnelle, d’un confort financier et de tous les attributs sociaux du bonheur (études, carrière, mariage, enfant), je n’arrivais toujours pas à trouver de la sérénité et de la plénitude avec moi-même. J’ai alors entrepris un long travail d’approfondissement des sources et mécanismes du bonheur. Grâce à cela, j’ai trouvé un équilibre et je chemine aujourd’hui sur la voie de mon bonheur.

Sur un plan académique, j’ai fait des études en Relations Internationales à l’Institut des Hautes Etudes Internationales de Genève (4 ans) suivies par un diplôme d’Etudes Supérieures en Economie Politique (2 ans). J’ai ensuite travaillé dans la finance internationale à Londres (UK) pendant une dizaine d’années. De retour en Suisse, j’ai repris des études de droit à l’Université de Genève (3 ans) que j’ai malheureusement dû interrompre suite à la maladie d’un proche. J’ai fait ensuite carrière dans l’Immobilier (gestion, marchand de bien et promotion) puis pendant quelques années dans la restructuration d’entreprises pour enfin, me consacrer à la formation professionnelle et à l’accompagnement.

Passionnée depuis mon adolescence par l’être humain, ses fonctionnements et ses comportements, j’ai, tout au long des années, poursuivi et peaufiné mes connaissances dans ce domaine grâce à plusieurs apprentissages en communication non violente (CNV France), en coaching (Institut International de Coaching de Genève, Suisse), en ennéagramme (Ennea06, Biot, France), en MBTI (Ennea06, Biot, France) et en astrologie de coaching (Sébastien Michel, Québec, Canada & Patrice Dufour, Quebec, Canada).  Mon chemin personnel d’évolution m’a également donné l’opportunité de découvrir et d’expérimenter plusieurs approches de compréhension de soi et de spiritualité.

Aujourd’hui, je dédie mon temps à l’écriture et à l’accompagnement de personnes souhaitant trouver un équilibre de vie par la connaissance de soi.

Il nous semble très évident d’un point de vue intellectuel que le bonheur n’est pas le résultat de notre seule volonté, ni celui d’une accumulation financière ou matérielle ni encore, l’aboutissement d’une formule magique. Pourtant, dans la pratique, nous donnons toute notre priorité à notre sécurité financière, à atteindre une certaine réussite sociale et à nous conformer aux attentes de la société environnante (études, carrière, mariage, enfants) sans que cela nous conduise à un bonheur pérenne.

Ceci se confirme d’ailleurs et de façon évidente, par les statistiques sur le nombre de personnes prenant régulièrement des somnifères, antidépresseurs ou encore, «pilules du bonheur». Elles montrent chaque année, une constante progression (voir les chiffres de l’Office Fédérale de la Santé Publique Suisse). La même constatation se retrouve dans les statistiques sur la consommation des drogues et de l’alcool. Alors que faire ?

Mon chemin personnel vers la quiétude m’a enseigné que toute recherche du bonheur en dehors de ce que nous sommes au plus profond de nous-mêmes est vouée à un échec cuisant, tôt ou tard. En effet, il existe autant de façon d’être heureux qu’il y a de personnalités sur terre car le bonheur est une question subjective et intime.

Il est important de spécifier que lorsque je parle de «bonheur», je fais ici référence à l’état de bonheur c’est-à-dire à un sentiment persistant de bien-être où nous nous sentons à notre place, heureux de vivre et solide face aux défis de la vie. Ce bonheur n’est pas à confondre avec le plaisir que nous ressentons lorsque nous satisfaisons un désir. Le plaisir est éphémère ce qui n’est pas le cas de l’état de bonheur. Remarquons que dans le langage commun, le terme de bonheur est largement confondu avec celui de plaisir ce qui fait qu’ils sont utilisés l’un à la place de l’autre en dépit d’un sens profondément différent. Soulignons enfin que l’état de bonheur ne signifie pas que toute votre vie est un long fleuve tranquille sans obstacle ou difficulté. Cet état de bonheur permet seulement une stabilité inébranlable face aux épreuves de la vie mais ne les empêche pas de survenir.

Cette croyance collective et inconsciente que notre bonheur puisse découler de l’extérieur est aussi le corolaire de certaines de nos convictions comme celle de penser que si nous possédons telle ou telle chose ou si notre vie ressemble à telle ou telle image, nous serons heureux. De même, elle nous conduit à créer des liens de dépendance qui nous sont plus toxiques que bénéfiques. C’est par exemple de croire à l’idée que si notre partenaire nous quitte, nous ne sommes plus rien, que notre vie va s’effondrer ou encore, que si nous ne répondons pas à certaines attentes de notre entourage et de la société, nous ne pourrons jamais atteindre le bonheur.

Mais alors que faire ?

Le premier pas vers son bonheur est de prendre conscience de sa propre valeur et de ses ressources afin de sortir de ses fausses croyances et laisser ainsi, sa nature profonde s’exprimer. Nous avons tous en nous les ressources nécessaires pour vivre mais nos croyances nous conduisent à nous conditionner dans un schéma, à nous limiter dans un système qui ne nous correspond pas forcément.

De mon observation et expérience, la solution se trouve dans une action en trois étapes.

• Tout d’abord, la découverte de soi afin de développer une connaissance approfondie de sa nature
• Ensuite, l’acceptation de soi et de ses besoins même si ceux-ci vont à l’encontre de ses désirs
• Et enfin, la pratique de l’amour inconditionnel de soi-même et des autres

C’est un travail de patience qui demande beaucoup d’authenticité vis-à-vis de soi-même mais dont le résultat est à la hauteur de tous les obstacles franchis : une confiance forte, une estime solide de soi, un sentiment de complétude, une sérénité durable et difficilement ébranlable, le sentiment d’être à sa place, des actions qui ont du sens, une abondance dans tous les domaines de sa vie et un prise de décision juste, pour ne citer que quelques uns des bienfaits d’une telle démarche sur sa vie.

Au cours de mon cheminement, j’ai essayé beaucoup de techniques qui m’ont en définitive toutes ramenée à une même constatation, à savoir que toutes les réponses à mes questions étaient en moi et que c’était par la découverte de qui j’étais, que j’allais trouver le sens de ma vie et ma plénitude.

En d’autres mots, nous détenons les clés de notre bien-être et leur recherche à l’extérieur de nous-même nous conduira toujours à une impasse. D’une certaine façon, c’est un peu comme si nous avions la possibilité de nous confectionner nous-même des habits sur-mesure et que nous choisissions le prêt-à-porter même s’il était inconfortable ! Pour certains, cette approche convient parfaitement et c’est magnifique pour eux. Mais pour d’autres, ce renoncement à ce qu’ils sont au plus profond d’eux-mêmes pour s’adapter à un moule imparfaitement compatible à leur nature profonde, les amènera petit à petit à de l’insatisfaction, à de la tristesse, à de la colère, à du doute, à de la dépression, à de la perte de confiance en soi ou même, à de la maladie pour ne citer que quelques uns des dommages possibles.

Quelles que soient nos croyances philosophiques ou spirituelles, chacun de nous a un libre choix qu’il décide ou non d’actionner. Ce que nous vivons dans le présent est le résultat de conditions que nous avons créées par le passé. Soulignons que l’inaction ou le déni sont des choix et représentent un positionnement. Loin de moi l’idée de tous nous culpabiliser, c’est inutile et contre-productif! Trouver son bonheur commence par reprendre le pouvoir sur sa vie et décider de ce que l’on veut ou non. C’est en reconnaissant sa part de responsabilité dans ce qu’il nous arrive que nous pouvons éviter de réitérer des actes qui nous sont toxiques. Tant que nous pensons que c’est l’extérieur (personnes ou événements) qui crée notre malheur, il nous sera difficile de changer la réalité de notre vie pour pouvoir reprendre notre pouvoir et nous engager sur le chemin de notre bien-être.

Forte de cette vision des choses, je propose des accompagnements basés sur la découverte de soi au travers d’une combinaison de plusieurs outils de développement personnel et de l’astrologie de coaching. En croisant les résultats de ces divers instruments, j’obtiens une photographie excessivement précise du fonctionnement de la personne, de sa nature profonde et des éléments indispensables à son bonheur.

Cette analyse croisée de ces divers outils de connaissance de soi me permet d’appréhender chacun de mes consultants sous toutes ses facettes et ainsi, le conseiller de façon excessivement personnalisée. Enfin, en fonction de la position des planètes dans le ciel au moment de notre consultation, je lui indiquerai les domaines de sa vie requérant une attention toute particulière.

Il est important à ce stade de préciser que JE NE FAIS AUCUNE VOYANCE. Je ne suis pas médium. Je propose des solutions basées sur des faits tangibles (bilan de personnalité) que je lie à la position des planètes de la personne au moment de sa naissance. Le thème natal me donne toutes les indications sur comment une personne devrait satisfaire ses besoins fondamentaux pour ressentir cet état de bonheur dont je parlais précédemment. En suivant les recommandations de sa carte du ciel, cette personne pourra alors créer les causes et les conditions propres à l’harmonisation de ses pensées, de ses ressentis, de ses paroles et de ses actes. C’est ce que l’on appelle l’alignement. En suivant les chemins que lui indiquent ses planètes, elle ressentira alors dans sa vie quotidienne un bien-être profond et durable.